Selon une étude réalisée par HSBC, ils ne se sentent pas préparés à assumer financièrement ou n'ont rien mis en place pour faire face à leur vieillissement.
La santé, et plus précisément le
vieillissement préoccupe les Français. Pour 66% d'entre eux, la santé
est le thème le plus préoccupant, avant la qualité de vie ou la sécurité
financière, indique une étude réalisée par HSBC et publiée, ce jeudi.
Parmi les 1000 Français interrogés sur la confiance qu'il ont en leur avenir, quatre individus sur cinq (81%) estiment qu'un mauvais état de santé aurait un fort impact sur leur qualité de vie. 70% d'entre eux pensent que leur relation avec leur conjoint serait affectée, 65% imaginent qu'il y aurait des conséquences sur leur famille et à peine 56% sur leur vie sociale.
Mais ce qui préoccupe avant tout les Français dans leur santé, c'est le vieillissement avant l'accès aux soins, leur famille et le coût engendré.
Malgré cette inquiétude prégnante, 66% des Français interrogés déclarent qu'ils ne pourraient pas bien ou pas du tout assumer financièrement ou qu'ils n'ont rien mis en place pour parer un tel événement, selon l'étude. Parmi les inquiétudes pour lesquelles les individus se sentent les moins préparés, 76% des personnes sondées pensent qu'elles ne sont pas préparées s'il arrivait quelque chose à leurs parents.
Le Figaro,Marie Théobald, Publié
Parmi les 1000 Français interrogés sur la confiance qu'il ont en leur avenir, quatre individus sur cinq (81%) estiment qu'un mauvais état de santé aurait un fort impact sur leur qualité de vie. 70% d'entre eux pensent que leur relation avec leur conjoint serait affectée, 65% imaginent qu'il y aurait des conséquences sur leur famille et à peine 56% sur leur vie sociale.
Mais ce qui préoccupe avant tout les Français dans leur santé, c'est le vieillissement avant l'accès aux soins, leur famille et le coût engendré.
Malgré cette inquiétude prégnante, 66% des Français interrogés déclarent qu'ils ne pourraient pas bien ou pas du tout assumer financièrement ou qu'ils n'ont rien mis en place pour parer un tel événement, selon l'étude. Parmi les inquiétudes pour lesquelles les individus se sentent les moins préparés, 76% des personnes sondées pensent qu'elles ne sont pas préparées s'il arrivait quelque chose à leurs parents.
Méconnaissance de l'assurance décès
Afin d'anticiper ce qui pourrait leur arriver, certains considèrent la possibilité de souscrire une assurance décès. Mais le coût est un obstacle pour 55% d'entre eux. Parmi ceux qui en détiennent déjà une, 77% ne connaissent pas le montant de leurs indemnités ou doutent qu'elles seraient suffisantes. Quand l'assurance est souscrite par l'employeur, souligne l'étude, la proportion est légèrement supérieure (79%).Le Figaro,Marie Théobald, Publié
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