jeudi 24 décembre 2020

Le GRETA-CFA Aquitaine vous souhaite de bonnes fêtes de fin d'année

En cette fin d'année, toute l'équipe de l'Agence Formations VAE-Bilan Remise à niveau Langues - GRETA CFA Aquitaine 33 de Gironde vous souhaite d'excellents congés de fin d'année !! 

Et n'oublions pas de rester prudents afin de passer de bonnes fêtes ! 🎄

En attendant de nous retrouver dès le 4 janvier  2021, notre site internet reste accessible : https://greta-cfa-aquitaine.fr 😀 

 




lundi 21 décembre 2020

Télétravail : une révolution à encadrer

La crise du coronavirus a poussé des dizaines de millions d’Européens vers le télétravail du jour au lendemain. Avec néanmoins des disparités importantes. Tour d’horizon.

Avant que le mot « confinement » entre dans le vocabulaire européen à la fin du mois de février, le télétravail était encore un mode de travail fantasmé par certains, redouté par d’autres, en tout cas inimaginable pour la plupart des salariés en Europe.

A part dans quelques pays à faible densité (Islande, Norvège, Finlande) et dans quelques autres aux économies très tertiarisées (comme le Royaume-Uni, les Pays-Bas ou le Luxembourg), les Européens pratiquaient relativement peu ce mode de travail.

Mais en quelques jours, des dizaines de millions d’entre eux se sont retrouvés à traiter leurs mails depuis leur salon, à assister à une visioconférence depuis leur chambre ou à passer un coup de fil dans leur cuisine pour échapper aux cris des enfants.

Et maintenant ? Selon les enquêtes d’opinion récentes, de nombreux salariés européens disent vouloir continuer de télétravailler après la pandémie (au moins quelques jours) et beaucoup d’entreprises s’y disent également prêtes. La vague du télétravail ne va cependant pas tout emporter. Première raison : tous les métiers ne sont pas télétravaillables. Bien sûr, le confinement a repoussé les limites du périmètre qu’on imaginait jusque-là. Il est donc possible que les véritables frontières du télétravail soient encore sous-estimées.

Mais en France par exemple, 18,5 millions d’emplois sur les 27 millions que compte le pays ne se prêtent pas au télétravail, estime l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE). Par ailleurs, il n’est pas acquis que les millions de télétravailleurs potentiels s’y inscrivent dans la durée. En France toujours, un tiers des salariés disaient être heureux de retourner au bureau après le confinement du printemps.

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Source : Alternatives économiques.fr, 21/12/2020.
Article intégral en ligne : https://www.alternatives-economiques.fr

 

vendredi 18 décembre 2020

Covid-19 : un vaccin venu du froid

 A priori, les vaccins anti-Covid aiment le froid, tout particulièrement celui de Pfizer/BioNTech, déjà utilisé au Royaume-Uni, qui doit être conservé à -70°C, un défi logistique.

Les vaccins sont des produits biologiques sensibles. Certains ne résistent pas à la lumière, d'autres à la chaleur ou à la congélation. Les bousculer leur fait perdre toute efficacité de façon irréversible. Pour leur transport et leur stockage, ils ont leurs préférences. Les plus courants, contre la grippe par exemple, à virus inactivé, se conservent entre 2 et 8°C dans un réfrigérateur classique. Mais d'autres sont bien plus exigeants. C'est a priori le cas des vaccins à ARN messager. Une technique novatrice, développée contre le Covid-19, qui consiste à injecter chez le patient un morceau d'ARN du virus. Une fois arrivé dans les cellules, ce petit brin de code génétique les force à fabriquer une protéine virale qui sera reconnue par le système immunitaire, déclenchant la production d'anticorps et la réponse de l'organisme contre l'agression. Or l'ARN est très délicat. Pour le protéger et le conduire jusqu'aux cellules, il est encapsulé dans une sphère de nanoparticules de lipides qui peut, elle aussi, se dégrader rapidement.

Pour éviter tout dommage et préserver une efficacité maximale, le laboratoire Pfizer recommande impérativement pour la distribution de son vaccin, de maintenir une température de stockage de -70°C avec une tolérance de + ou - 10 °C, même si d'autres fabricants, alignés sur la même technologie, comme Moderna, semblent pour leurs futurs produits avoir des exigences de froid beaucoup moins contraignantes (elles seraient de -20°C).

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Source : Le Figaro, 16/12/2020.
Article intégral en ligne :
https://www.lefigaro.fr/sciences/covid-19-un-vaccin-venu-du-froid-20201216