Selon une vaste enquete publiée mardi par l’Institut de veille sanitaire (InVS) et l’Institut national du cancer (INCa), les chances de rester en vie cinq ans après le diagnostic d’un cancer se sont globalement améliorées ces dernières années. L’étude publiée mardi 2 février a été menée sur plus de 535 000 cas de cancers, sur deux périodes : 1989-1993 et 2005-2010.
Chimiothérapie à l'hôpital Oscar Lambret de Lille. PHILIPPE HUGUEN / AFP
|
Malheureusement, tous les types de
cancer n’offrent pas les mêmes perspectives. Ainsi, il reste aujourd’hui
extrêmement rare de survivre plus de cinq ans à un mésothéliome (cancer
lié à l’amiante) ou à une tumeur au poumon. En revanche, les cancers du
sein ou de la prostate sont très bien soignés.
Les maladies et leurs perspectives d’évolution ne sont pas les mêmes chez les hommes et chez les femmes.
Les maladies et leurs perspectives d’évolution ne sont pas les mêmes chez les hommes et chez les femmes.
Comme les femmes sont davantage atteintes
que les hommes par des cancers qui se soignent bien, leur taux de survie
global cinq ans après le diagnostic est meilleur, selon les données de
l’InVS et de l’INCa, qui divise les types de cancers en trois
catégories, en fonction de leur pronostic.
Retrouvez l'ensemble de l'article avec tous les graphiques : http://lemonde.fr/les-decodeurs/article/2016/02/02/quelles-sont-les-chances-de-survie-aux-principaux-cancers_4858099_4355770.html
Aucun commentaire :
Enregistrer un commentaire