Actu33
  • Accueil
  • Actualité
    • Santé
    • Social
    • Education
    • Travail-Emploi
    • Economie
    • Société
  • Culture
    • Films
    • Émissions TV
    • Expositions
    • Livres
  • Concours
    • Paramédicaux
    • Sociaux
    • Fonction publique
  • S'entrainer
    • Français/FLE
    • Maths
    • Anglais
    • Toutes matières
    • Tests psycho
    • Santé/Social
  • Revues de presse
    • Doc Hebdo
    • Doc Bimensuel Santé-Social
  • Ressources CDI
    • Sciences humaines
    • Gazette Santé social
    • La Santé en action
    • Le Monde
    • Sud-ouest
    • Le Un
    • Courrier international
    • Rebondir
    • Courrier Cadres
    • English Now
    • Go English
    • Bien-dire Initial
    • Bien-dire
    • Fonction publique
    • Lien social
  • Qui-sommes-nous
  • Contact

mardi 31 mai 2016

Journée mondiale sans tabac - 31 mai 2016

Halte aux idées reçues : fumer n’est jamais sans risque ! Tabac Info Service est une aide efficace à l’arrêt

A l’occasion de la Journée mondiale sans tabac, le ministère des Affaires sociales et de la Santé et Santé publique France lancent une nouvelle campagne de sensibilisation nationale du 23 mai au 30 juin 2016. Son objectif est de rappeler que fumer n’est jamais sans risque et de promouvoir de nouveau dans les médias le dispositif interactif d’aide à l’arrêt Tabac Info Service.

Les idées reçues et Tabac Info Service au cœur de la nouvelle campagne 31 mai

Alors que toute consommation de tabac entraîne des risques réels, certains facteurs particuliers comme la pratique d’un sport, la jeunesse ou encore une faible consommation de tabac, auraient tendance à laisser penser le contraire. Or, ces contre-vérités ne font qu’entretenir les dangers encourus par les fumeurs et nuisent à leur santé ainsi qu’à leur bien-être.
70% des personnes interrogées lors du Baromètre Cancer 2010 considèrent encore que « faire du sport permet de se nettoyer les poumons », et 35% des fumeurs estiment que la consommation de tabac ne peut provoquer un cancer que si l’on fume beaucoup et pendant longtemps. En réalité, des cancers liés au tabagisme apparaissent dès l’âge de 35 ans.

Du 23 au 31 mai, une première phase de la campagne a pour vocation de démonter ces idées reçues, en leur apportant la réponse exacte :
  • Non, le cancer des poumons ne touche pas que les seniors. Il touche aussi les fumeurs dès 35 ans. Oui, 35 ans ;
  • Non, faire du sport, tous les jours ne protège pas les fumeurs du cancer : ça ne nettoie pas leurs poumons ;
  • Non, fumer « seulement » 4 cigarettes par jour n’est pas sans risque. En fait, ça multiplie par 3 le risque d’infarctus.
Source : Site internet Santé publique France, 23/05/2016.
Publié par CR_Lormont à mardi, mai 31, 2016 Aucun commentaire :
Envoyer par e-mail BlogThis! Partager sur X Partager sur Facebook Partager sur Pinterest
Libellés : actualité , journée sans tabac , santé , société , tabac

lundi 30 mai 2016

Trop-perçus prélevés par Pôle emploi, déclarations d’activité : ce que prévoit l’article 52 de la loi travail

Portée par Myriam El Khomri, la réforme du code du travail induit de nombreux changements pour les droits des travailleurs, mais également pour les chômeurs. Les prérogatives de Pôle emploi seront en effet étendues : ainsi, l’article 52 de la réforme permettrait à l’administration de déduire directement des futures allocations-chômage les sommes versées à tort.


Par ailleurs, les demandeurs d’emploi devront immédiatement déclarer une période d’activité à l’administration, sous peine de se voir refuser la prise en compte des droits. Le but de la manœuvre est de « garantir la continuité et l’efficacité des procédures de recouvrement de ces indus par Pôle emploi », selon l’exposé des motifs de l’article.
Cet aspect de la loi a suscité une levée de boucliers chez les détracteurs du texte, comme le militant socialiste Gérard Filoche ou le Syndicat des avocats de France. D’après eux, l’article 52 ne ferait rien de moins que recycler une mesure de la convention d’assurance-chômage de l’Union nationale interprofessionnelle pour l’emploi dans l’industrie et le commerce (Unedic), votée en juin 2014 et finalement annulée par le Conseil d’Etat.

Pôle emploi pourra directement ponctionner les trop-perçus

 

VRAI

 

Les « indus » ou « trop-perçus », c’est-à-dire des montants envoyés à tort aux allocataires s’étaient élevés en 2013 à 756 millions d’euros pour l’Unedic, organisme gestionnaire de l’assurance-chômage. Un tiers de cette somme n’avait pas été récupéré.
Qu’il s’agisse d’une erreur de l’allocataire ou de Pôle emploi, la pratique voulait que Pôle emploi récupère au moins les deux tiers de cette somme en les soustrayant des futures allocations chômage. La mesure avait été inscrite dans la convention du 14 mai 2014 relative à l’indemnisation du chômage.
Des associations et syndicats ont alors saisi le Conseil d’Etat, qui a annulé cette même mesure, considérant que les partenaires sociaux n’ont pas la compétence pour faire usage de telles modalités. C’est donc bien la forme du recouvrement qui avait été annulée par le Conseil, et c’est celle-là même qui est inscrite dans la nouvelle version de la loi El Khomri : « Pôle emploi peut, si le débiteur n’en conteste pas le caractère indu, procéder par retenues sur les échéances à venir dues à ce titre », est-il inscrit dans la loi. Notons toutefois que, à la suite de l’annulation par le Conseil d’Etat en octobre 2015, les partenaires sociaux (Medef et organisations syndicales) se sont retrouvés début mars. C’est à leur demande, à l’exception de la CGT qui a refusé de signer, que ces modalités de prélèvement ont été inscrites dans la loi travail.

Une déclaration d’activité tardive ne sera pas prise en compte

 

VRAI ET FAUX

 

La convention de l’Unedic de 2014 prévoyait que les périodes d’activité non déclarées, au-delà de trois jours par mois, ne seraient pas prises en compte par Pôle emploi dans le calcul des droits, si elles n’étaient pas déclarées ce même mois.
Là aussi, le Conseil d’Etat avait annulé cette décision, considérant que l’administration n’était pas compétente pour décider de la prise en compte de ces périodes. Et, là encore, la loi El Khomri prévoir que « les périodes d’activité professionnelle d’une durée supérieure à trois jours, (…) au cours du même mois civil, non déclarées par le demandeur d’emploi à Pôle emploi au terme de ce mois ne sont pas prises en compte pour l’ouverture ou le rechargement des droits à l’allocation d’assurance ».
Pourtant, la réforme du code du travail prévoit des recours pour les salariés. En effet, si certains « salariés subissent couramment les retards de leurs employeurs lorsqu’ils effectuent leurs déclarations », comme le souligne Gérard Filoche, la loi El Khomri ne va pas jusqu’à « les priver d’allocations pour lesquelles ils ont pourtant cotisé ».
Il est en effet inscrit dans la réforme que, si le demandeur d’emploi « n’est pas en mesure d’effectuer la déclaration dans le délai imparti du fait de son employeur ou d’une erreur de Pôle emploi », il pourra recouvrer son allocation. Un deuxième alinéa souligne également que le demandeur pourra exercer un recours devant l’instance paritaire régionale de Pôle emploi.

(...)

Lire l'article dans sa globalité sur le site internet du journal le Monde, 31/05/2016 : http://abonnes.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2016/05/30/loi-travail-l-article-52-propose-des-mesures-deja-annulees-par-le-conseil-d-etat_4929215_4355770.html
Publié par CR_Lormont à lundi, mai 30, 2016 Aucun commentaire :
Envoyer par e-mail BlogThis! Partager sur X Partager sur Facebook Partager sur Pinterest
Libellés : actualité , El Khomri , loi travail , société

samedi 28 mai 2016

Une étude américaine renforce les soupçons d’un lien entre cancers et téléphonie mobile

Ce ne sont pour l’heure que des résultats partiels, mais ils sont de mauvais augure. Le National Toxicology Program (NTP) américain a mis en ligne, jeudi 26 mai au soir, la première partie d’une étude toxicologique de grande ampleur, suggérant un lien entre deux cancers rares et l’exposition à des radiofréquences de 900 MHz, modulées selon deux normes de téléphonie mobile : GSM et CDMA. Les données rendues publiques mettent en avant une « incidence faible » de gliome cérébral et d’une tumeur très inhabituelle, le schwannome cardiaque, chez les rats mâles ayant été exposés à ces radiofréquences. Aucun des rats du groupe témoin n’a développé ce type de cancers.


Le NTP, un programme de recherche américain associant plusieurs agences publiques, n’a pas lésiné sur les moyens. « C’est la plus vaste étude de ce type conduite à ce jour sur le sujet », dit le toxicologue Christopher Portier, ancien directeur adjoint du NTP. L’étude, conduite sur deux ans et demi a coûté plus de 20 millions de dollars. Les groupes d’animaux étudiés comptaient chacun 90 individus, afin de maximiser la puissance statistique des résultats. Outre les animaux témoins (non exposés), certains groupes ont été exposés à des niveaux de rayonnement de 1,5 Watt par kilogramme (W/kg), d’autres à 3 W/kg et à 6 W/kg. Soit des niveaux d’exposition supérieurs à ceux des humains : la plupart des téléphones portables commercialisés ont un débit d’absorption spécifique (DAS) inférieur à 1 W/kg. En outre, les rats ont été soumis à un niveau d’exposition considérable. Leur corps entier a été exposé, tout au long de leur vie, 18 heures par jour, selon un cycle régulier : 10 minutes d’exposition, suivies de 10 minutes sans exposition, etc.

Effet différencié en fonction du sexe

 

Pour les deux normes d’émissions testées (GSM et CDMA), les résultats indiquent une incidence des deux cancers qui croît globalement avec le niveau de rayonnement reçu par les animaux. La proportionnalité de l’effet dose-réponse est en particulier claire pour le schwannome. Les chercheurs du NTP notent d’ailleurs avoir « une plus grande confiance dans l’association entre radiofréquences et lésions cardiaques, qu’avec les lésions cérébrales ». Mais, de manière surprenante, seuls les mâles sont touchés. En fonction du rayonnement reçu, le taux d’animaux développant l’une des deux pathologies varie de 1,1 % (un animal sur 90) à 6,6 % (6 animaux sur 90). Les femelles exposées dans des conditions identiques ne contractent pas ces maladies…
Cet effet différencié en fonction du sexe est inexpliqué. A ce jour, précise Christopher Portier, « il n’existe que des indices très limités de l’existence d’un mécanisme biologique à même d’expliquer la cancérogénicité des rayonnements non ionisants ». Les rayonnements ionisants – émis par certains éléments radioactifs, par exemple – altèrent l’ADN des cellules et peuvent ainsi conduire certaines d’entre elles à devenir cancéreuses. Rien de tel avec les radiofréquences, qui n’ont pas d’impact sur l’ADN…
En dépit de cette absence de mécanisme clair, plusieurs études épidémiologiques ont suggéré une augmentation d’incidence des gliomes cérébraux chez les grands utilisateurs de téléphone mobile…. mais d’autres n’ont pas mis en évidence un tel lien. En 2011, le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), l’agence de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) chargée d’inventorier et de classer les agents cancérogènes n’avait ainsi classé les ondes électromagnétiques que parmi les « cancérogènes possibles » (dit classement « 2B »).

L’ensemble des résultats attendu

 

L’affaire est donc très débattue mais les résultats préliminaires du NTP, assez inattendus, viennent apporter de l’eau au moulin de ceux qui plaident pour plus de précaution. Toutefois, le NTP précise que ces résultats ne sont que partiels et que d’autres, actuellement en cours de révision, viendront dans les prochains mois compléter et préciser le tableau. Au CIRC, on préfère attendre la publication de l’ensemble des résultats du NTP pour apporter des commentaires, mais on précise que « si cela s’avère nécessaire, en fonction de la nature des données qui seront apportées, le CIRC pourra réévaluer rapidement sa classification des ondes électromagnétiques des radiofréquences ».
Pour M. Portier, les résultats partiels présentés devraient suffire à ce que « les pouvoirs publics investissent plus, sans attendre, dans la recherche scientifique sur les impacts sanitaires de ces technologies ». Car même si les effets mis au jour n’étaient que ténus, l’affaire serait importante. « Vu l’usage mondial généralisé des appareils de communications mobiles, par des utilisateurs de tous âges, même une augmentation très faible de l’incidence d’une maladie résultant d’une exposition aux rayonnements électromagnétiques pourrait avoir des conséquences importantes pour la santé publique », notent en effet les chercheurs du NTP dans leur compte-rendu.
    Stéphane Foucar, Le Monde, 28/05/2016

    Publié par CR_Lormont à samedi, mai 28, 2016 Aucun commentaire :
    Envoyer par e-mail BlogThis! Partager sur X Partager sur Facebook Partager sur Pinterest
    Libellés : cancer , études , santé , société , téléphone mobile

    vendredi 27 mai 2016

    Dans le détail, ce que contient la nouvelle version du projet de « loi travail »

    De l’abandon du plafonnement des indemnités pour licenciement injustifié à la définition du licenciement économique en passant par la prise des congés par le salarié, nous avons épluché en détail le projet de loi El Khomri dans sa version réécrite pour le comparer au code du travail dans sa version actuelle.

    Présentée au départ à la mi-février par la ministre du travail et réécrite en partie à la mi-mars, cette réforme en profondeur du droit du travail touche tous les aspects de la vie en entreprises : repos, temps de travail, négociations salariales, médecine du travail.
    Si le projet de loi original représentait 131 pages, les modifications apportées à la version réécrite représentent 24 pages, soit près du cinquième du texte original.

    Les mesures ci-dessous (disponibles en PDF) tiennent donc compte des modifications présentées par Manuel Valls le 14 mars :

    Publié par CR_Lormont à vendredi, mai 27, 2016 Aucun commentaire :
    Envoyer par e-mail BlogThis! Partager sur X Partager sur Facebook Partager sur Pinterest
    Libellés : actualité , El Khomri , loi travail , société

    mercredi 25 mai 2016

    Grâce à son système de santé, la France première dans la lutte contre les « décès évitables » en Europe

    Un grand nombre de morts prématurées auraient pu être évitées en Europe, compte tenu des connaissances et des technologies médicales actuelles : 577 500 exactement en 2013, soit près d’un tiers de la population de moins de 75 ans. C’est l’un des enseignements d’une étude publiée mardi 24 mai par Eurostat, l’organisme européen de statistiques. Certains décès, en particulier les crises cardiaques et accidents cardiovasculaires, n’auraient ainsi pas lieu à ce niveau « si des soins de santé efficaces et prodigués à temps étaient en place ».


    Une bonne nouvelle toutefois dans ce décompte assez macabre : la France s’en sort particulièrement bien. Avec « seulement » 23,8 % de décès évitables, elle est en première position des vingt-huit membres de l’Union européenne (qui enregistrent une moyenne de 33,7 % de morts évitables). Cette mesure qui « fournit un indicateur sur la qualité et la performance des politiques de santé », selon Eurostat, s’explique par une bonne prise en charge des crises cardiaques, qui ne représentent que 6 % des décès en France (le plus bas taux en Europe, où la moyenne est de 13 %), et des AVC (5,7 %, également le plus bas taux contre une moyenne de 8,7 %). En revanche, le taux de décès évitables est bien supérieur en Europe de l’Est.



    Lire la suite »
    Publié par CR_Lormont à mercredi, mai 25, 2016 Aucun commentaire :
    Envoyer par e-mail BlogThis! Partager sur X Partager sur Facebook Partager sur Pinterest
    Libellés : actualité , décès , europe , France , santé , social , société , système de santé

    mardi 24 mai 2016

    Une réforme majeure pour rétablir l’égalité des Français face à l’hôpital

    À l’avenir, tous les hôpitaux auront l’obligation de mieux coopérer au niveau local. Pour éviter que seuls les patients « initiés » sachent où aller se faire soigner.
    Accueil au service des urgences à l’hopital de Marseille
     
    Accueil au service des urgences à l’hopital de Marseille / ANNE-CHRISTINE POUJOULAT/AFP

    C’est une réforme majeure qui met pas mal d’hôpitaux en ébullition. « Un projet aussi important que la création des CHU en 1958 », salue Gérard Vincent, qui vient de quitter son poste de délégué général de la Fédération hospitalière de France (FHF). Cette réforme s’articule autour de 3 lettres : GHT, pour Groupements hospitaliers de territoire. « Ma conviction est que l’avenir du service public hospitalier réside dans une synergie d’hôpitaux ouverts les uns aux autres », a indiqué, mardi 24 mai, la ministre de la santé Marisol Touraine
    L’idée de départ est simple : obliger tous les hôpitaux à créer des coopérations locales. « L’objectif est de créer des filières de soins cohérentes tout en mutualisant certaines activités », souligne Gérard Vincent. Un projet pragmatique visant à éviter des « doublons » entre certains hôpitaux proches géographiquement qui, parfois, se regardent en chiens de faïence et se font concurrence en voulant absolument garder leur maternité ou leur service de chirurgie.

    Un regroupement devenu obligatoire

    Un premier mouvement avait été amorcé en 2012 avec la création des communautés hospitalières de territoire (CET). Mais le projet, alors, reposait sur le volontariat. Et au final, peu d’hôpitaux ont accepté de coopérer les uns avec les autres. Actuellement moins d’un sur quatre fait partie d’une communauté de territoire.
    C’est la raison pour laquelle Marisol Touraine a décidé de changer de braquet en instaurant ces GHT dans sa loi santé. Et en obligeant tous les hôpitaux à se regrouper. « Au final, on devrait avoir de 150 à 180 groupements qui réuniront un peu plus d’un millier d’établissements », souligne Gérard Vincent.

    Un projet médical partagé

    Dans chaque groupement, il y aura un hôpital « support », en général le plus gros hôpital du bassin de vie concerné. Autour de lui graviteront quatre ou cinq établissements de plus petite taille. « L’objectif, ensuite, est de faire une gradation des soins autour d’un projet médical partagé », explique le professeur Dominique Rossi, président de la commission médicale d’établissement (CME) des hôpitaux de Marseille.
    À l’échelle d’un petit département, l’idée serait, par exemple, de décider que tous les patients atteints de cancer devront plutôt aller dans le CHU de référence. Et que tel petit hôpital aura vocation à accueillir des patients en soins de suite après une opération.

    Lutter contre les inégalités face à la santé

    L’ambition est de lutter contre les inégalités des Français face à la santé. « Force est de constater qu’aujourd’hui, une partie des usagers de l’hôpital public bénéficient de ce qu’on pourrait qualifier de "parcours d’initiés" », soulignait un rapport remis l’an passé à Marisol Touraine.
    Ces « initiés », ce sont les patients qui vont d’emblée dans le meilleur hôpital car bien conseillés par leurs réseaux personnels. Avec le GHT, l’objectif est de créer des filières organisées et visibles pour que les « non-initiés » puissent eux aussi frapper tout de à la suite de la bonne porte.

    La crainte des petits hôpitaux

    Mais sur le terrain, de multiples résistances s’organisent. Certains estiment que le projet est surtout conduit avec une logique de productivité. Beaucoup de petits hôpitaux ont peur de disparaître en se faisant « manger » par les gros CHU.
    « Cette crainte n’est pas fondée. La réforme va créer des équipes de médecins qui pourront aller d’un hôpital à l’autre. Ce qui permettra à un petit hôpital de continuer à vivre car des médecins du CHU viendront par exemple y faire des consultations certains jours de la semaine », souligne Gérard Vincent.

    Pierre BIENVAULT, le 24/05/2016, La Croix.
    Publié par CR_Lormont à mardi, mai 24, 2016 Aucun commentaire :
    Envoyer par e-mail BlogThis! Partager sur X Partager sur Facebook Partager sur Pinterest
    Libellés : accès aux soins , actualité , français , hôpital , santé

    lundi 23 mai 2016

    Les infirmiers gagnent en moyenne 2 198 euros bruts par mois

    En 2015, le salaire mensuel brut moyen des infirmiers diplômés d’État (IDE) s’élevait à 2 198 euros et a ainsi connu une augmentation de 5.1% par rapport à 2010, selon le 5ème baromètre des salaires de la santé de l’Appel Médical. Du côté des spécialités, la rémunération des infirmiers de bloc s’est accrue de 4.5% pour atteindre 3 222 euros, alors que celle des infirmiers anesthésistes (IADE) a légèrement diminué de 0.7%, soit 3 718 euros bruts mensuel.

    bulletin de paie
    Les infirmiers diplômés d’État gagnent en moyenne 2 198 euros bruts par mois.

    En 2015, les infirmiers diplômés d’État (IDE) ont gagné en moyenne 2 198 euros bruts, selon le 5ème baromètre des salaires de la santé de l’appel médical1. Par rapport à 2010, leur salaire a augmenté de 5.1%. Néanmoins, des disparités régionales existent. Ainsi, en Bretagne, la rémunération moyenne des IDE atteint 2 304 euros, alors qu’elle est de 2 148 euros en Île-de-France. Notons également que le secteur associatif offre le salaire le plus élevé (2 292 euros en moyenne, contre 2 195 euros dans le secteur privé et 2 124 euros dans le secteur public). En revanche, les salaires ont tendance à stagner dans le secteur associatif (+0.8% en cinq ans). Les infirmiers travaillant en secteur privé ou public ont quant à eux vu leur rémunération augmenter respectivement de 6.2% (de 2 066 euros à 2 195 euros) et 5.9% (de 2 007 euros à 2 124 euros) depuis 2010. Soulignons que la profession infirmière ainsi que les spécialités ont connu des évolutions de salaire moindre par rapport à d’autres métiers de la santé. Le salaire des préparateurs en pharmacie a notamment connu une hausse de 12% en cinq ans.

    salaires des mériers de la santé

    En Bretagne, la rémunération moyenne des IDE atteint 2 304 euros, alors qu’elle est de 2 148 euros en Île-de-France.
    La rémunération des infirmiers de bloc opératoire s’est elle aussi accrue. Elle est ainsi passée de 3 083 euros à 3 222 euros, soit une évolution de 4.5%. Pour les IBODE, mieux vaut pour le moment travailler dans le secteur associatif où le salaire s’élève à 3 372 euros en moyenne, contre 3 333 euros dans le secteur privé et 3 114 euros dans le secteur public. Cependant, la rémunération des IBODE du secteur associatif a tendance à diminuer (-1.4% depuis 2010). Brigitte Ludwig, présidente de l’Union Nationale des Associations d’Infirmiers de Bloc Opératoire Diplômés d’État (UNAIBODE) déplore qu’au niveau des salaires « rien n’a bougé depuis un petit moment ! En fin de carrière, un IBODE ne gagne qu’une centaine d’euros mensuels de plus qu’un IDE. Il serait bon que l’expertise réelle de notre métier, qui ira en s’accentuant, passe par une revalorisation salariale ».
    En fin de carrière, un IBODE ne gagne qu’une centaine d’euros mensuels de plus qu’un IDE.
    La rémunération des infirmiers anesthésistes est la seule du baromètre à connaître une très légère baisse (-0.7%). Elle passe donc ainsi de 3 743 euros en 2010 à 3 718 euros en 2015.Toutefois, cette diminution ne concerne pas tous les secteurs. Ainsi, le salaire des IADE des secteurs associatif et privé ont augmenté respectivement de 6.3% (soit 3 799 euros en 2010 et 4 037 euros en 2015) et 7.1% (soit 3 680 euros en 2010 et 3 942 euros en 2015). En revanche, il a baissé de 4.2% dans le secteur public, passant de 3 740 euros en 2010 à 3 585 euros en 2015. Malgré cette diminution, le salaire des IADE est le plus élevé des métiers de la santé.
    La rémunération des infirmiers anesthésistes est la seule du baromètre à connaître une très légère baisse (-0.7%).

    salaires par secteur

    De son côté, Sébastien Colson, président de l’Association nationale des puéricultrices(teurs) diplômé(e)s et des étudiant(e)s (ANPDE), souligne que les IPDE ont connu une revalorisation en 2010 pour la fonction publique hospitalière. La fonction publique territoriale s’est alignée en 2014, mais seulement pour les puéricultrices, ce qui conduit à des situations incongrues où les cadres ont un salaire parfois inférieur à celui des puéricultrices. Des ajustements sont donc encore nécessaires.
    Christophe Bougeard, directeur général de l’Appel Médical, explique que face à des budgets sous pression, les établissements de santé, qu’ils soient publics, privés ou associatifs, doivent répondre à une demande de soin qui ne se dément pas année après année. Les causes sont bien connues. La qualité du système de soins en France permet de vivre plus longtemps et en meilleure santé. À titre d’exemple, les besoins de personnel qualifié dans le secteur médico-social vont être de plus en plus importants.
    Force est de constater que même si les infirmiers jouent un rôle important dans le système de santé, ils peinent à être reconnus. En effet, d’une part, les infirmiers anesthésistes, dont la grille statutaire a évolué en 2012 et 2015, sont en attente de travaux sur la grille indiciaire qui devraient débuter dès cet été. D’autre part, pour les autres spécialités, la revalorisation salariale passera sans doute par une réingénierie de la formation, demandée depuis de nombreuses années par les associations professionnelles. Les infirmiers vont donc devoir se montrer patients...

    Note
    1. L’étude se base sur les salaires réels constatés et a été réalisée sur les années pleines 2015 et 2014 et depuis 2010. 557 302 contrats de mission Appel Médical ont été analysées. La règle imposant qu’un intérimaire soit rémunéré au même niveau qu’un salarié titulaire garantit une bonne représentativité des salaires. À noter que les données concernent les salaires bruts hors indemnités de fin de mission, hors primes et autres accessoires.
    Aurélie TRENTESSE, Infirmiers.com, 23/05/2016.
    Publié par CR_Lormont à lundi, mai 23, 2016 Aucun commentaire :
    Envoyer par e-mail BlogThis! Partager sur X Partager sur Facebook Partager sur Pinterest
    Libellés : actualité , infirmier , métier , salaire , santé

    dimanche 22 mai 2016

    Festival de Cannes : la Palme d’or pour Ken Loach

    Le réalisateur Ken Loach et sa Palme d’or au 69e Festival de Cannes, le 22 mai 2016.

    Au terme de dix jours de projection de films en tous genres et de montées des marches sur fond de flashs et de paillettes, le jury, présidé par l’Australien George Miller, le réalisateur de la saga Mad Max, a fait son choix, récompensant le réalisateur britannique Ken Loach avec la Palme d’or pour son film Moi, Daniel Blake. Jean-Pierre Léaud, lui, a reçu une Palme d’honneur pour sa carrière, au cours de la cérémonie de clôture du 69e Festival de Cannes, présentée par l’acteur Laurent Lafitte.

     

    La Palme d’or à Moi, Daniel Blake, du Britannique Ken Loach

     

    Six fois primé à Cannes, où il avait déjà reçu la Palme d’or en 2006 pour Le vent se lève, Ken Loach, 79 ans, raconte l’histoire d’un menuisier qui se bat pour obtenir l’aide sociale. Moi, Daniel Blake n’est pas une satire d’un système absurde. Ken Loach n’est pas un humoriste, c’est un homme en colère, et le parcours de l’ouvrier privé de travail et de ressources est filmé avec une rage d’autant plus impatiente qu’elle est impuissante.
    Il a profité de son temps de parole, lors de la cérémonie de clôture, pour attaquer « les pratiques néo-libérales qui ont entraîné dans la misère des millions de personnes, de la Grèce au Portugal, avec une petite minorité qui s’enrichit de manière honteuse ».

    Le Grand Prix à Juste la fin du monde, du Canadien Xavier Dolan

     

    Le réalisateur canadien, extrêmement ému, a notamment déclaré : « Tout ce qu’on fait dans la vie, on le fait pour être aimé, pour être accepté. Je tournerai toute ma vie des films, aimé ou non. » Il a terminé en citant Anatole France : « Je préfère la folie des passions à la sagesse de l’indifférence ».

    Le prix de la mise en scène ex aequo au Français Olivier Assayas (pour Personal Shopper) et au Roumain Cristian Mungiu (pour Baccalauréat)

     


    Le réalisateur Olivier Assayas au 69e Festival de Cannes, le 22 mai 2016.
    Cristian Mungiu avait déjà reçu la Palme d’or en 2007 pour 4 mois, 3 semaines, 2 jours. Dans Baccalauréat, il sonde avec acuité les compromissions et la corruption dans la société roumaine. Pour Olivier Assayas, ce prix « est le plus beau prix, que je partage avec un cinéaste que j’admire. La mise en scène, c’est quelque chose qui s’invente collectivement, mais j’ai l’impression d’avoir construit un collectif, et ce prix lui appartient collectivement. »

    Le prix du scénario à l’Iranien Asghar Farhadi pour Le Client (Forushande)

     


    Le réalisateur Asghar Farhadi au 69e Festival de Cannes, le 22 mai 2016.
    Le réalisateur Asghar Farhadi au 69e Festival de Cannes, le 22 mai 2016. ALBERTO PIZZOLI/AFP
    « Mes films ne sont pas connus pour être joyeux », a dit le réalisateur en recevant son prix, espérant que son film « apporte de la joie » au peuple iranien. Il raconte l’histoire d’un couple de comédiens en train de répéter une pièce de théâtre, qui se trouve contraint de quitter son appartement à Téhéran en raison de travaux menaçant leur immeuble.

    Le prix d’interprétation féminine à Jaclyn Jose, pour son rôle dans Ma’Rosa, du Philippin Brillante Mendoza

     


    L’actrice Jaclyn Jose au 69e Festival de Cannes, le 22 mai 2016.
    L’actrice Jaclyn Jose au 69e Festival de Cannes, le 22 mai 2016. JEAN-PAUL PELISSIER/REUTERS
    La star philippine a remercié « Brillante Mendoza, un réalisateur formidable, un vrai génie ». Dans Ma’Rosa, elle incarne Rosa Reyes, dite Ma’Rosa (Maman Rosa). Pour le rôle, elle est allée s’immerger incognito, de nuit, dans les quartiers que le film décrit, pour faire connaissance avec des personnes du même milieu.

    Le prix d’interprétation masculine à Shahab Hosseini, pour son rôle dans Le Client (Forushande)

     


    L’acteur Shahab Hosseini au 69e Festival de Cannes, le 22 mai 2016.
    L’acteur Shahab Hosseini au 69e Festival de Cannes, le 22 mai 2016. LIONEL CIRONNEAU/AP
    L’acteur iranien joue Emad, professeur et comédien, au sein d’un couple qui se trouve confronté à des événements et des choix bouleversants, alors qu’ils jouent Mort d’un commis voyageur, d’Arthur Miller. « Je sais que mon père, là où il est, au paradis, est en train de partager cette soirée avec moi. Paix à son âme, et que son âme soit joyeuse, a-t-il dit en recevant son prix. Ce prix, je le dois à mon peuple, donc de tout mon cœur avec tout mon amour, c’est à lui que je le rends. »

    Le prix du jury à American Honey, de la Britannique Andrea Arnold

     


    La réalisatrice Andrea Arnold au 69e Festival de Cannes, le 22 mai 2016.
    La réalisatrice Andrea Arnold au 69e Festival de Cannes, le 22 mai 2016. VALERY HACHE / AFP
    Elle a été saluée pour son premier film tourné aux Etats-Unis. Un prix qu’elle avait déjà reçu à Cannes pour Red Road (2006) et Fish Tank (2009). Habituée de la compétition, Andrea Arnold s’est offert, comme se doit aujourd’hui de le faire tout cinéaste sélectionné à Cannes qui se respecte, son « film américain ».

    La Caméra d’or à Divines, premier long-métrage de la Franco-Marocaine Houda Benyamina

     


    La réalisatrice Houda Benyamina lors de la cérémonie de clôture du 69e Festival de Cannes, le 22 mai 2016.
    « Cannes, c’est aussi notre place à nous. Cannes est à nous, à nous les femmes ! » La réalisatrice a un peu réveillé une salle endormie en début de cérémonie, avec un discours d’anthologie. Dans le film, l’actrice principale (et petite sœur de la réalisatrice), Oulaya Amamra, 20 ans, incarne Dounia, une jeune fille qui vit dans un camp de Roms en marge d’une cité de la banlieue parisienne et a décidé que, dans sa vie, tout serait possible.
    • La Palme d’or du court-métrage à Timecode, de l’Espagnol Juanjo Gimenez, ainsi qu’une mention spéciale du jury pour le Brésilien Joao Paulo Miranda Maria, pour La Jeune Fille qui dansait avec le diable.
    LE MONDE | 22.05.2016 à 18h39 • Mis à jour le 23.05.2016.
    Publié par CR_Lormont à dimanche, mai 22, 2016 Aucun commentaire :
    Envoyer par e-mail BlogThis! Partager sur X Partager sur Facebook Partager sur Pinterest
    Libellés : 2016 , actualité , Cannes , cinéma , Culture , festival , films

    vendredi 20 mai 2016

    L’engouement pour la cigarette électronique, interdite de publicité



    Assimilée au tabac, la cigarette électronique ne peut plus faire l’objet de publicité à compter du vendredi 20 mai. L’ordonnance transposant en France la directive européenne de lutte contre le tabagisme prévoit des règles plus strictes concernant le tabac et ses produits dérivés, introduisant notamment le paquet de cigarette neutre, mais aussi toute forme de publicité pour les e-cigarettes, y compris dans les vitrines des magasins.

    Quasi inconnue en 2010, la cigarette électronique s’est très vite généralisée et semble constituer une « solution de sortie du tabagisme plutôt qu’une “porte d’entrée” », selon l’Observatoire des drogues et toxicomanies. Retour sur ce phénomène en quelques chiffres.

    Lire l'article dans sa globalité : http://lemonde.fr/les-decodeurs/article/2016/05/20/la-cigarette-electronique-interdite-de-publicite_4923430_4355770.html

    LE MONDE, 20.05.2016  

    Lire la suite »
    Publié par CR_Lormont à vendredi, mai 20, 2016 Aucun commentaire :
    Envoyer par e-mail BlogThis! Partager sur X Partager sur Facebook Partager sur Pinterest
    Libellés : actualité , cigarette électronique , santé , société
    Articles plus récents Articles plus anciens Accueil
    Inscription à : Articles ( Atom )

    Rechercher sur le Blog

    Site web du GRETA-CFA Aquitaine

    Site web du GRETA-CFA Aquitaine

    L'Agence Formations générales Gironde du GRETA-CFA Aquitaine

    L'Agence Formations générales Gironde du GRETA-CFA Aquitaine

    Suivez le GRETA-CFA Aquitaine sur les réseaux sociaux




    Suivez l'Agence Formations générales Gironde sur Facebook

     


    Ressources utiles

    • S'entraîner
    • Sources Internet DPFI
    • Revue de presse : Doc Hebdo
    • Revue de presse : Doc Bimensuel Gazette Santé/Social

    Articles populaires

    • Conseils pour rédiger une adresse sur une enveloppe
    • SÉCURITÉ SOCIALE Nouvelles économies dans la branche famille
    • Santé : forte hausse du nombre de malades nécessitant des traitements de longue durée en France d’ici 2020
    • Portugal : le président met son veto à une loi autorisant la gestation pour autrui
    • Code du travail : ce que prépare vraiment le gouvernement
    • Une réforme du Code du travail peut-elle renforcer la protection des salariés ?

    Les vidéos d'actualités

    • Les vidéos de Courrier Internationnal
    • Les vidéos de La gazette Santé Social
    • Les vidéos du journal Le Monde
    • Les vidéos du journal Sud-Ouest

    Vous aimerez aussi...

    • Blog infirmier : Infos pratiques pour tous
    • Péripéties d'une infirmière
    • Le blog d'une aide soignante
    • Le blog des métiers

    Nombre total de pages vues

    Principales pages du BLOG

    • Accueil
    • Faisons connaissance
    • Revue de presse : Doc Hebdo
    • Revue de presse : Doc Bimensuel Gazette Santé/Social
    • Concours
    • S'entraîner
    • Sources Internet DPFI
    • Téléchargements
    • CONTACT

    Archives du blog

    • ►  2021 ( 2 )
      • ►  novembre ( 1 )
      • ►  janvier ( 1 )
    • ►  2020 ( 44 )
      • ►  décembre ( 17 )
      • ►  novembre ( 12 )
      • ►  octobre ( 3 )
      • ►  août ( 1 )
      • ►  juin ( 2 )
      • ►  avril ( 2 )
      • ►  mars ( 1 )
      • ►  février ( 4 )
      • ►  janvier ( 2 )
    • ►  2019 ( 167 )
      • ►  décembre ( 16 )
      • ►  novembre ( 21 )
      • ►  octobre ( 17 )
      • ►  septembre ( 11 )
      • ►  août ( 2 )
      • ►  juillet ( 9 )
      • ►  juin ( 14 )
      • ►  mai ( 13 )
      • ►  avril ( 14 )
      • ►  mars ( 11 )
      • ►  février ( 15 )
      • ►  janvier ( 24 )
    • ►  2018 ( 200 )
      • ►  décembre ( 34 )
      • ►  novembre ( 16 )
      • ►  octobre ( 21 )
      • ►  septembre ( 16 )
      • ►  août ( 6 )
      • ►  juillet ( 12 )
      • ►  juin ( 15 )
      • ►  mai ( 18 )
      • ►  avril ( 15 )
      • ►  mars ( 15 )
      • ►  février ( 15 )
      • ►  janvier ( 17 )
    • ►  2017 ( 218 )
      • ►  décembre ( 16 )
      • ►  novembre ( 25 )
      • ►  octobre ( 37 )
      • ►  septembre ( 18 )
      • ►  août ( 14 )
      • ►  juillet ( 19 )
      • ►  juin ( 18 )
      • ►  mai ( 17 )
      • ►  avril ( 12 )
      • ►  mars ( 18 )
      • ►  février ( 11 )
      • ►  janvier ( 13 )
    • ▼  2016 ( 260 )
      • ►  décembre ( 18 )
      • ►  novembre ( 30 )
      • ►  octobre ( 24 )
      • ►  septembre ( 14 )
      • ►  août ( 2 )
      • ►  juillet ( 27 )
      • ►  juin ( 29 )
      • ▼  mai ( 25 )
        • Journée mondiale sans tabac - 31 mai 2016
        • Trop-perçus prélevés par Pôle emploi, déclarations...
        • Une étude américaine renforce les soupçons d’un li...
        • Dans le détail, ce que contient la nouvelle versio...
        • Grâce à son système de santé, la France première d...
        • Une réforme majeure pour rétablir l’égalité des Fr...
        • Les infirmiers gagnent en moyenne 2 198 euros brut...
        • Festival de Cannes : la Palme d’or pour Ken Loach
        • L’engouement pour la cigarette électronique, inter...
        • Des salaires plutôt stables pour les aides-soignan...
        • Ces « maladies de pays riches » qui gagnent du ter...
        • Newsletter de mai 2016 du DPFI
        • Le cancer en France en 2015 : 150 000 décès et des...
        • Le Portugal ouvre la GPA à certaines et la PMA à t...
        • Conseils pour prendre des notes
        • Cancers en France : un décès sur trois attribuable...
        • Quels calculs se cachent derrière les logos nutrit...
        • Les études servent-elles à intégrer le monde du tr...
        • Un rapport alerte sur la situation des quartiers p...
        • Grossesse : des bons d'achat en échange d'un arrêt...
        • Les réfugiés peinent à retrouver le chemin des études
        • Tchernobyl a-t-il provoqué des cancers en France ?
        • Refondation de l’école : 3 ans après, qu'est-ce qu...
        • Cancers : en France, la lutte contre la maladie po...
        • Être recruté dans la Fonction publique : le guide ...
      • ►  avril ( 28 )
      • ►  mars ( 24 )
      • ►  février ( 15 )
      • ►  janvier ( 24 )
    • ►  2015 ( 197 )
      • ►  décembre ( 13 )
      • ►  novembre ( 32 )
      • ►  octobre ( 23 )
      • ►  septembre ( 24 )
      • ►  août ( 1 )
      • ►  juillet ( 18 )
      • ►  juin ( 18 )
      • ►  mai ( 11 )
      • ►  avril ( 2 )
      • ►  mars ( 24 )
      • ►  février ( 22 )
      • ►  janvier ( 9 )
    • ►  2014 ( 277 )
      • ►  décembre ( 24 )
      • ►  novembre ( 38 )
      • ►  octobre ( 30 )
      • ►  septembre ( 113 )
      • ►  août ( 12 )
      • ►  juillet ( 7 )
      • ►  juin ( 12 )
      • ►  mai ( 5 )
      • ►  avril ( 14 )
      • ►  mars ( 2 )
      • ►  février ( 10 )
      • ►  janvier ( 10 )
    • ►  2013 ( 28 )
      • ►  décembre ( 1 )
      • ►  novembre ( 7 )
      • ►  octobre ( 9 )
      • ►  septembre ( 11 )
    DPFI Lormont - GRETA-CFA Aquitaine. Images de thèmes de enjoynz. Fourni par Blogger.